Join the P.a.L #5

Uncle-Sam1

Juin 2016, l’heure de faire le premier bilan des dernières acquisitions de l’année ! Comme la fois précédente, mes achats ont été limités et raisonnables (ils me le paraissaient moins sur le coup, mais bon, hein) Finalement, la technique de noter les références vues en librairie et de les laisser décanter pour retourner les chercher ou les réserver (non, Amazon ne passera toujours pas par moi, du moins pour les livres) si quelques semaines/mois plus tard, ils me font toujours envie, est assez efficace : moins d’achats impulsifs, forcément, et des livres qui restent moins longtemps dans ma PàL (au détriment de ceux qui s’y trouvent depuis 5 ans ahem).

Du coup, ce Join the PàL devrait plutôt s’intituler Join the Billy shelf, mais bon, hein, on va dire que.

Alors, depuis novembre, quoi de neuf ?

Donc, depuis novembre, 11 livres sont venus s’ajouter à ma bibliothèque, j’en avais déjà évoqué 3 : The Sleeper and The Spindle, Dragons at Crumbling Castle et Émilie voit quelqu’un.

Quid des huit autres ?

Dois-je vraiment expliquer pourquoi Par bonheur le lait ? Vraiment ? Neil Gaiman + Boulet ? Non, cela va de soit, il me le fallait. Point.

Idem pour le tome 10 des Notes de Boulet, que j’ai couru acheter le lendemain de la sortie, avant qu’ils n’aient plus de tote à la librairie. Le vendeur m’a d’ailleurs expliqué, très enthousiaste, qu’il essayait de le faire venir en dédicace. Il a réussi, je n’étais pas là. Je me suis rattrapée aux Imaginales. Muhuhuhu.

C’est d’ailleurs à cette occasion que j’ai fait l’acquisition du Club des Punks contre l’apocalypse Zombie. J’hésitais à l’acheter, puis en sortant du café littéraire dédié aux auteurs d’imaginaire, auteurs politiques ?, je me suis précipitée au stand pour le prendre (et le faire signer, muhuhuhu bis).

Sterben kann ich noch morgen, (Ou Je pourrais encore mourir demain) d’Alfred Wallon est un achat tout aussi spontané (mais pas signé, pas muhuhuhu), 1 € dans un bazar lors des courses en Allemagne, un résumé un peu WTF, je n’ai pas pu le laisser là, seul, abandonné. On verra bien ce que ça vaut.

Sorcières ! Le sombre Grimoire du féminin, publié chez les Moutons Électriques, me faisait de l’œil depuis sa sortie. Il m’a finalement fallu le commander auprès de ma librairie pour l’avoir tant j’ai attendu. S’agissant d’une rétrospective sur la figure mythique de la sorcière, il avait tout pour me plaire. J’espère qu’il sera à la hauteur. Si oui, Pirates ! se retrouvera sans doute sur ma liste prochaine.

Le Prince écorché se trouvait dans ma liste depuis quelques années déjà (oui, même avant qu’il ne soit traduit hipster) mais pas assez haut pour que je me décide à l’acheter. L’action spéciale à 3.99 € a fini par me décider, désormais il est mien.

Si je vous dis que ce livre m’a tapé dans l’œil tout d’abord à cause de sa couverture, vous me croyez ? La créature des Groseilles de Novembre m’évoquait les créatures dans les sous-sols de Berlin, et la quatrième de couverture était assez décalée pour me marquer durablement. J’avoue pourtant appréhender un peu la lecture, avoir basé mon achat sur ces quelques éléments ne protège pas de la déception. Au pire, ça complètera la carte des auteurs que j’ai lus.

Comme convenu de Laurel n’est pas vraiment un achat de cette année, j’ai participé à la collecte Ulule à son lancement, ce n’est que récemment qu’il est arrivé dans ma boîte aux lettres. L’attente en valait clairement la peine (bon, sauf pour P.B., mais je n’aime pas vraiment son travail, du coup, j’aurais été très contente même sans cette introduction dont je n’ai pas trop compris l’intérêt), le livre est de très bonne qualité. Vivement la parution complète de la suite !

Vous l’aurez compris, ces dernières acquisitions ont été lourdes en BDs, ce qui n’est pas vraiment dans mes habitudes, mais il faut savoir sortir de sa zone de confort. Mais pas trop non plus, on reste sur des valeurs sûres et des genres qui ont su faire leurs preuves.

Allez, la prochaine fois, il y aura peut-être des romans érotiques et des livres pour enfants – blague à part, la taupe avec la crotte sur la tête, c’était pas mal -.